
Ouest-France
9 juil. 2019
« Du son, de la lumière de qualité, du talent ! Mais aussi de la spontanéité, de la proximité, une bonne ambiance, une seule phrase : Qu’est-ce que c’est bon d’être ici ! »
Colin Meillier, le président de l’association Argo’art confirme : « Notre première édition De Jam en Jazz est encourageante pour la suite. Beaucoup de stress le jeudi, mais très rassuré dès le vendredi. »
De belles prestations, des découvertes pour le public callacois, une météo idéale : « Beaucoup de passage ! Et notamment samedi soir avec Nootkatone, aux influences Snarky Puppy, Electro Deluxe ou bien Miles Davis : douze musiciens sur scène, une grosse section cuivre, une ambiance de tonnerre. »
Comme tous les jours depuis le début du festival, ce sont les musiciens du collectif Ginjam (tête d’affiche de la clôture du dimanche soir), qui font les balances : « Nausikaa, qui a joué samedi soir, revient pour animer la jam-session sur l’après-midi, il faut que l’on accorde le tout. »
Ginjam, ce sont six musiciens et cinq chanteuses, le show est assuré ! Elias (clavier), Léo et Idris (batteurs), Maxime (guitare), Antoine (basse), Paul (saxophone), et les deux Charlotte, Juliette, Léa et Alexandra (chanteuses). Cette date est pour eux emblématique : « On s’est tous rencontrés dans une école de jazz à Paris, la CIM. De Jam en Jazz est une première édition mais pour nous, également une première apparition. » Les filles précisent, « cet événement nous lance, on ne pensait pas commencer à jouer, la rencontre avec Colin a été une très belle opportunité. Ça nous poussé, on a déjà une date sur Paris à suivre ».
Dans le public, une famille amateure de jazz, venue du Morbihan : « Du son, de la lumière de qualité, du talent ! Mais aussi de la spontanéité, de la proximité, une bonne ambiance, une seule phrase : Qu’est-ce que c’est bon d’être ici ! »